Popori Acoustics Vitorla : hissez la grand voile ! L'enceinte électrostatique pour audiophiles nautistes est là

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Popori Acoustics élargit sa gamme d’électrostatiques avec la Vitorla, une grande enceinte 2 voies combinant panneau électrostatique large bande et tweeter ruban planaire. La marque met en avant une fabrication artisanale et un réglage/contrôle pièce par pièce. Particularité esthétique : une mise en lumière LED intégrée pour souligner la forme de voile et la présence de l’enceinte dans la pièce. Prix aperçu à l'Audio Show de Varsovie : 95
000 € la paire.

Voici ce qu'on en sait pour le moment (résumé IA) :​

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1) “Wide range” électrostat + ruban HF

La Vitorla est présentée comme une électrostat 2 voies : un grand panneau électrostatique “wide range” prend en charge l’essentiel du spectre, tandis qu’un transducteur planaire à ruban intervient pour les hautes fréquences. Sur le papier, cette approche vise à conserver les qualités typiques de l’électrostat (rapidité, transparence, cohérence) tout en apportant un surcroît d’extension et de finesse dans l’extrême aigu.
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2) Principe push-pull, membrane et précision d’écartement

Popori insiste sur plusieurs éléments de conception. D’abord, une membrane annoncée comme résistante aux UV, à une chaleur modérée et à l’humidité, avec l’idée d’une meilleure stabilité dans le temps. Ensuite, un fonctionnement électrostatique push-pull, que la marque associe à une meilleure efficacité et à une distorsion réduite. Enfin, la construction dite “string technology” : l’emploi de “cordes” et de procédés CNC servirait à garantir un écartement membrane/stators très précis, ainsi que des surfaces parfaitement parallèles, afin d’obtenir un champ électrostatique uniforme sur toute la surface rayonnante. Un dispositif qu'on retrouve de manière un peu similaire chez Lirogon.
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3) Matériaux et châssis

Côté structure, Popori mentionnent l’usage d’un matériau solide pour le corps/les éléments de l’enceinte, associé à une base en métallique. Une combinaison cohérente avec le format : sur un panneau de 2,20 m, la rigidité, la stabilité mécanique et le contrôle des vibrations deviennent des points clés, autant pour la tenue dans le temps que pour la précision de fonctionnement du transducteur.

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4) Électronique / alimentation (d’après les manuels Popori WR1 / WR2 — utile pour comprendre l’approche constructeur)

Sur ses autres enceintes électrostatiques (WR1/WR2), Popori décrit une architecture globalement “classique” pour ce type de transducteur, mais pensée de façon assez propre et intégrée. D’abord, l’enceinte s’appuie sur une alimentation externe en 12 V DC, chargée de fournir la basse tension nécessaire au fonctionnement. Ensuite, tout ce qui concerne la haute tension (indispensable pour polariser/charger le film) ainsi que les transformateurs élévateurs (step-up) est regroupé dans un boîtier scellé — une sorte de “black box” située entre les pieds — explicitement prévu pour ne pas être ouvert.
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Popori mentionne aussi une protection auto-réarmable en cas de surcharge, avec LED d’indication, et une connectique permettant le bi-câblage / bi-amplification via une double paire de borniers (sur WR1/WR2). Enfin, la marque prévoit des ajustements liés à l’acoustique domestique : des mousses/“foam inserts” destinées à adapter ou affiner la réponse, notamment dans le bas du spectre.
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Spécifications :​

  • Réponse en fréquence : 28 Hz – 22 000 Hz
  • Sensibilité : 90 dB
  • Pression acoustique max (SPL) : 105 dB
  • Impédance : min. 3,5 Ω
  • THD (distorsion harmonique totale) : < 0,1 %
  • Poids : 68 kg / pièce
  • Surface de membrane (foil) : 0,7 m²
  • Dimensions (H × L × P) : 220 × 60 × 38 cm
  • Prix : 95000 € la paire
 
Humm,
en plus des très esthétiques LED, j'ajouterais bien quelques figurines ou statuettes de dauphin pour compléter l'ensemble ... ce serait magnifique ...
 
Au-delà de l’information c’est pour moi du « vrai » domaine du rêve ! Voici un beau Kdô de Noël, Merci Nikanor et On Mag !
Alors KOUAK ?

La forme rappelle « obséquieusement »
celle du « Burj Al Arab » hôtel 5* de Dubaï ! Obséquieusement car « tendance lèche bottes » vu que la clientèle ciblée y pullule !
Je ne peux résister à citer ce passage du site de l’hôtel : « il compte 198 suites, dont 142 suites de luxe à une chambre (pour les plus aisés d’entre NOUS : le prix le moins élevé est de 1 000 USD / 1 500 USD / Nuit selon la saison, sans vue sur mer ni sur les poubelles), 28 suites doubles, 18 suites panoramiques, 4 suites Club, 6 suites diplomatiques, 2 suites présidentielles, et 2 suites royales de 780 m², qui coûtent 140 000 dollars la nuit ».

Retour à l’Audiopilie !
Le concept technique peu commun de 2 voies sans « HP’s de Graves » traditionnels » est intriguant. L’indéniable recherche esthétique à propos de laquelle « voile » vient immédiatement à l'esprit pour un voileux. Encore qu'un "barde (celte)" y verrait une « harpe » !
J’espère que les « LED’s nouveau riche » sont désactivables ET/OU modulables selon l’envie de l’heureux propriétaire. ViLyon a raison d’ironiser !
J’apprécie, référence au nautisme oblige, le passage suivant « Popori insiste sur plusieurs éléments de conception. D’abord, une membrane annoncée comme résistante aux UV, à une chaleur modérée et à l’humidité, avec l’idée d’une meilleure stabilité dans le temps ».
J’avoue ne RIEN COMPRENDRE au comment les BASSES sont produites.
Les spéc’s
n’ont rien de ridicule : Réponse en fréquence : 28 Hz – 22 000 Hz. Sensibilité : 90 dB. Pression acoustique max (SPL) : 105 dB. Impédance : min. 3,5 Ω. THD (distorsion harmonique totale) : < 0,1 %. Poids : 68 kg / pièce. Surface de membrane (foil) : 0,7 m². Dimensions (H × L × P) : 220 × 60 × 38 cm. Prix : 95000 € la paire.
Certes, il faut prévoir un ampli (ou 2 blocs mono) envoyant du courant, vu l’impédance et la sensibilité. Mais pourquoi ne pas penser à des amplis de prix « raisonnables » comme un « Atoll SDA300 Signature » à 3 990 euros ou un combo « NAD C658 + NAD C298 » à 3 790 euros ? « Raisonnables » en fonction des 95 000 euros de ces enceintes, nous nous comprenons bien, hein ! Je n’ai pas cherché d’ensemble restant « accessible » avec 1 préampli intégrant des sources analogiques ET numériques + 2 blocs mono pêchus. Ça existe forcément.

Je craque complètement et si le Père Noël, le Loto ou n’importe quoi m’en donnait les moyens !
Je trouve la performance esthétique remarquable et du domaine de l’Art même sans « bois précieux ni cuir écolo en PVC » et peut-être SURTOUT en leur absence car toutes ces finitions extrêmes finissent par coûter plus cher que les composants, HP’s inclus !
Même la référence à l’inévitable « CNC » ne m’énerve pas car sans elle il me semble impossible de passer de l’idée à la conception physique de telles enceintes avec les contraintes de précision et de respect des côtes induites par les panneaux.

Peace Audiopiles « Sachant Rêver » !
 
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