Telos Audio Design est une marque taïwanaise, fondée à Taipei en 2006 (associée à Sheng-Kai Co., Ltd, basée à Tamsui, New Taipei City) et portée par Jeff Lin. Son câble secteur QAC (Quantum Active Cable) se présente comme un câble actif « one&only », intégrant un générateur Schumann — un petit boîtier qui fabrique une mini “vibration” électrique très lente (7,83 Hz) que certains utilisent pour rendre le son plus “calme” et doux, un peu comme un bouton d’ambiance — ainsi qu’une réduction active du bruit. Ce câble utilise des conducteurs Telos OFC avec une isolation en nanominéraux à infrarouge lointain, des connecteurs Wattgate sur mesure, une finition bleue, une sous-gaine noire, un rodage Quantum Burning Technology v5.1, pour 1,92 m et 900 g.
Ci-dessous la description que fait Telos de son câble QAC :
Visuellement, le QAC se distingue par un boîtier noir traversé par le câble. Il ne s’agit ni d’un simple élément d’amortissement, ni d’un filtre passif classique. Ce boîtier, usiné CNC dans un bloc d’alliage d’aluminium, intègre deux modules actifs : un module de correction de phase et un module de Schumann.
Le module de correction de phase reprend, sous une forme plus compacte, le principe du dispositif Telos QNR(quantum noise reduction). L’idée est de surveiller en continu le secteur à 50 Hz, d’identifier les décalages de phase, puis d’injecter un signal inverse afin de « recoller » l’alimentation à une sinusoïde 50 Hz plus propre et plus stable. Le concept se rapproche d’un conditionneur secteur, à une différence près : ici, le traitement se fait au plus près du câble, en temps réel, et la correction est appliquée immédiatement, sans dépendre d’un appareil séparé en amont.
Le QAC adopte aussi un câblage particulier pour renforcer cette correction. Le câble contient quatre conducteurs : trois assurent le trajet direct phase / neutre / terre, de la prise murale au connecteur IEC, sans interruption. Le quatrième conducteur sert de voie dédiée : il prélève la phase côté IEC, l’envoie au module de correction, puis renvoie la correction vers la prise secteur. Ce montage en parallèle raccourcit le trajet de traitement (par rapport à un QNR externe) et maintient un fonctionnement continu. Malgré la taille réduite du module, Telos affirme que l’effet reste très perceptible.
Le module « Schumann », lui, est décrit comme indépendant du chemin principal d’alimentation : il consomme simplement de l’énergie pour générer une très basse fréquence autour de 7,83 Hz, ensuite couplée au module de correction (via un condensateur). L’objectif revendiqué est un « apaisement » du rendu (timbres, confort d’écoute), avec un soin particulier apporté au choix des composants et au sens de câblage interne.
La gaine externe du QAC contient un mélange annoncé de 11 éléments de terres rares et de matériaux à infrarouge lointain. Telos soutient que cette « charge » appliquée sur toute la longueur du câble améliore la transmission et participe à l’accordage sonore. Les connecteurs sont des Wattgate. Les vis de phase, neutre et terre sont serrées au couple identique via un tournevis dynamométrique électronique à faible tolérance : même pression mécanique, impédance plus homogène, et, selon la marque, un résultat plus fluide.
À l’écoute, le texte d’origine décrit une amélioration « presque dramatique » : basses plus lisibles et mieux tenues, micro-détails vocaux (souffle, articulation) plus évidents, réverbération et espace plus présents, fond plus « noir ». Les contours des lignes sonores seraient plus nets, l’image plus solide et plus stable, la cohésion générale renforcée. Le tout gagnerait en clarté sans devenir agressif : moins de nervosité, moins de bruit perçu, davantage de douceur et de transparence — « comme si l’on essuyait ses lunettes ». Et, conclut la formule, Telos plaisante en disant craindre que ses clients finissent… ruinés.
Ci-dessous la description que fait Telos de son câble QAC :
Câble d’alimentation actif « Quantum » Unique (Telos)
En 2020, Telos Audio Design célèbre ses 15 ans. Pour marquer l’événement, Kobayashi met en avant un câble secteur actif présenté comme « sans précédent » : le QAC, pour Quantum Active Cable. Ce modèle est censé concentrer vingt ans d’expérience dans l’audio, avec une approche mêlant correction de phase, réduction du bruit, « accordage » via la résonance de Schumann, sélection et orientation des composants, matériaux spécifiques (terres rares, infrarouge lointain), soudure dédiée et serrage contrôlé au tournevis dynamométrique.Visuellement, le QAC se distingue par un boîtier noir traversé par le câble. Il ne s’agit ni d’un simple élément d’amortissement, ni d’un filtre passif classique. Ce boîtier, usiné CNC dans un bloc d’alliage d’aluminium, intègre deux modules actifs : un module de correction de phase et un module de Schumann.
Le QAC adopte aussi un câblage particulier pour renforcer cette correction. Le câble contient quatre conducteurs : trois assurent le trajet direct phase / neutre / terre, de la prise murale au connecteur IEC, sans interruption. Le quatrième conducteur sert de voie dédiée : il prélève la phase côté IEC, l’envoie au module de correction, puis renvoie la correction vers la prise secteur. Ce montage en parallèle raccourcit le trajet de traitement (par rapport à un QNR externe) et maintient un fonctionnement continu. Malgré la taille réduite du module, Telos affirme que l’effet reste très perceptible.
Le module « Schumann », lui, est décrit comme indépendant du chemin principal d’alimentation : il consomme simplement de l’énergie pour générer une très basse fréquence autour de 7,83 Hz, ensuite couplée au module de correction (via un condensateur). L’objectif revendiqué est un « apaisement » du rendu (timbres, confort d’écoute), avec un soin particulier apporté au choix des composants et au sens de câblage interne.
La gaine externe du QAC contient un mélange annoncé de 11 éléments de terres rares et de matériaux à infrarouge lointain. Telos soutient que cette « charge » appliquée sur toute la longueur du câble améliore la transmission et participe à l’accordage sonore. Les connecteurs sont des Wattgate. Les vis de phase, neutre et terre sont serrées au couple identique via un tournevis dynamométrique électronique à faible tolérance : même pression mécanique, impédance plus homogène, et, selon la marque, un résultat plus fluide.
À l’écoute, le texte d’origine décrit une amélioration « presque dramatique » : basses plus lisibles et mieux tenues, micro-détails vocaux (souffle, articulation) plus évidents, réverbération et espace plus présents, fond plus « noir ». Les contours des lignes sonores seraient plus nets, l’image plus solide et plus stable, la cohésion générale renforcée. Le tout gagnerait en clarté sans devenir agressif : moins de nervosité, moins de bruit perçu, davantage de douceur et de transparence — « comme si l’on essuyait ses lunettes ». Et, conclut la formule, Telos plaisante en disant craindre que ses clients finissent… ruinés.
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